Audio - Catéchisme sur le mariage catholique (Saguenay)

Catéchisme donné à Chicoutimi le vendredi 10 juin 2016

 

Par monsieur l'abbé Olivier Berteaux (FSSPX)
Invité du Mouvement Tradition Québec

Le Québec catholique - 12 - Les saints patrons de la Chaudière-Appalaches

La toponymie de notre province est une véritable Litanie des saints.

Ce ne sont pas les Saints Patrons qui manquent à nos bons habitants canadiens-français!

Nous dressons pour vous la liste des Saints Patrons de la province, classés par régions administratives - cette semaine: la Chaudières-Appalaches.

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Municipalités locales de la Chaudière-Appalaches 12

 




Saint Ignace de Loyola

Cap-Saint-Ignace : La municipalité de la paroisse du Cap Saint-Ignace, comprenant la paroisse de Saint-Ignace du Cap Saint-Ignace, a été érigée en vertu de l'Acte 8, le 1er juillet 1845. L'origine du nom s'explique, d'une part, par la présence d'un petit cap formant presqu'île vis-à-vis de l'église actuelle et, d'autre part, peut-être, parce que les Jésuites qui ont exercé leur ministère dans les paroisses environnantes désiraient ainsi rendre hommage à leur fondateur saint Ignace de Loyola. L'hypothèse répandue suivant laquelle le constituant Saint-Ignace ferait allusion au seigneur Charles-Joseph Amyot de Vincelotte, de 1665 à 1735, qui signait Vincelotte de Saint-Ignace, ne tient pas, puisque le nom de «Cap St Ignace», pour identifier le petit cap, figure déjà sur la carte de Bourdon, vers 1641 et est très antérieur au moment de la concession du fief en 1680. Toutefois M. l'abbé I. Caron dit que ce cap a pu être nommé en l'honneur des fils de saint Ignace de Loyola, qui exercèrent le ministère dans la plupart des paroisses de la rive sud.Saint Ignace : Saint-Ignace de Loyola, de 1491 à 1556, est né dans le Pays basque espagnol et est mort à Rome. Auteur des Exercices spirituels, il fut un remarquable directeur de conscience. La spiritualité ignacienne est l'une des principales sources d'introspection religieuse dans le catholicisme. À la tête des Jésuites, il devint un ardent promoteur de la Réforme tridentine, aussi appelée Contre-Réforme. Canonisé par le pape Grégoire XV le 12 mars 1622 Ignace de Loyola est liturgiquement commémoré le 31 juillet.

Saint-Adalbert : Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1890. L’érection canonique est le 11 novembre 1910. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Adalbert en mémoire de Monsieur l'abbé Adalbert Blanchet, ancien curé de Saint-Pamphile. La paroisse de Saint-Adalbert est un démembrement de cette dernière paroisse.
Saint Adabert : Évêque de Prague, martyr mort à l’en 997. Saint Adabert est honoré le 23 novembre.

Saint Adrien III

Saint-Adrien-d'Irlande : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1877. Un curé y réside depuis cette dernière date. L'érection canonique est le 19 avril 1906 et l'érection civile est le 19 juillet 1906. On a retenu le patronyme d'Adrien ou Hadrien III, pape de 884 à 885, dont la fête est célébrée le 8 juillet. Quant au constituant Irlande, il souligne que les colons adrienirlandois étaient originaires de cet endroit.
Saint Adrien : Saint Adrien III, Il succède à Marin Ier en tant que 109e pape de l'Église catholique du 17 mai 884 jusqu'à sa mort, le 8 juillet 885. Les raisons de sa vénération en tant que saint sont pratiquement inconnues, mais il est connu pour avoir aidé la population de Rome lors d'une famine. Son culte est confirmé en 1891 par le pape Léon XIII et il est fêté le 8 juillet.

Saint Agapit

Saint-Agapit : Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1867. Un curé y réside depuis 1869. L'érection canonique est le 18 février 1867 et l'érection civile est le 8 mai 1867. Le nom Saint-Agapit, rappelle le pape Agapit ou Agapet Ier, 57e successeur de saint Pierre, qui a régné de 535 à 536, et dont on célèbre la fête le 22 avril.
Saint Agapit : Saint Agapit Ier ou Saint Agapet, né à Rome, pape du 13 mai 535 au 22 avril 536. Saint Agapit est fêté le 22 avril.

Saint-Alfred : D'abord établie comme paroisse en 1926 par un décret supprimé par la suite à cause de graves dissensions avec des paroissiens de Beauceville et rétabli en 1928, a été constituée par l'apport d'étendues de territoires détachées de Saint-Victor-de-Tring, de Saint-François-Ouest et de Saint-Benoît-Labre. Érigée comme municipalité en 1950, sa dénomination évoque saint Alfred le Grand. Ce roi de Wessex, est considéré comme un grand animateur de l'Église et a souvent été comparé à Charlemagne. Cependant, on aurait voulu rendre hommage à monseigneur Joseph-Alfred Langlois, 1876-1966, évêque auxiliaire du diocèse de Québec de 1924 à 1926, qui sera nommé au siège de Valleyfield en 1926.
Saint Alfred : Saint Alfred le grand, roi des Saxons Ixe siècle. Il est fêté le 28 octobre.

Saint Anselme de Catorbéry

Saint-Anselme : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1830, année de l'ouverture des registres de la paroisse. L'érection canonique est le 27 novembre 1827 et l'érection civile est le 9 octobre 1835. La paroisse fut mise sous le patronage de saint Anselme par Mgr Plessis, parce que l'évêque de Québec avait toujours eu une grande dévotion pour le saint Archevêque de Cantorbery.
Saint Anselme : Saint Anselme de Cantorbéry, connu comme le 'Docteur magnifique', est un moine bénédictin né à Aoste, Italie en 1033 et mort à Cantorbéry le 21 avril 1109. Il est également philosophe et théologien. Il est fêté le 21 avril.

Saint-Antoine-de-l'Isle-aux-Grues : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1831; les registres s'ouvrent en l'année 1832. L'érection canonique est le 24 janvier 1827. et l'érection civile est le 3 décembre 1842. L'île doit son nom aux grandes quantités de grues que l'on y voyait autrefois. Saint Antoine a été donné pour patron à la paroisse parce que les habitants avaient une grande dévotion envers ce grand saint.
Saint-Antoine : Saint Antoine, patriarche des Cénobites en 251 et mort vers l’an 356. Un jour il entend à l’Élise ces paroles du Christ qui vont décider de sa vie : « Si tu veux être parfait, vas, vends tout ce que tu possèdes et donne-le aux pauvres.» Le riche chrétien se défait aussitôt de ses biens et s’enfonce dans le désert. Il est fêté le 17 janvier.  Il y a un grand nombre d’Antoine qui sont inscrits au calendrier des saints et bienheureux, comme évêques, martyrs, religieux.



SAint Antoine de Padoue

Saint-Antoine-de-Tilly : Desservi par des missionnaires de 1702 à 1736, date de la nomination du premier curé résidant, et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est en 1702. Les limites de cette paroisse furent fixées par l'Ordonnance du 3 mars 1722. Son nom, qui commémore saint Antoine de Padoue, a pour auteur lointain le père Honoré Hurette, récollet qui dessert la mission de 1700 à 1705 et qui lui donne ce nom. Le constituant Tilly fait allusion à la seigneurie de Villieu ou Tilly, concédée en 1672 à Pierre de Villieu, lieutenant au régiment de Carignan- Salières. Elle sera vendue en 1700 à Pierre-Noël Legardeur de Tilly. Militaire de carrière, Legardeur de Tilly a exercé entre autres fonctions celles de capitaine des troupes de la Marine, 1700 et de membre du Conseil souverain.
Saint Antoine : Saint Antoine de Padoue, né en 1195 à Lisbonne et mort le 13 juin 1231 près de Padoue, Italie, est un prêtre franciscain, maître de doctrine spirituelle, prédicateur de renom et thaumaturge, qui fut canonisé en 1232, et déclaré Docteur de l'Église en 1946. Il est commémoré le 13 juin. Il est le patron du Portugal, des marins, des naufragés et des prisonniers, des pauvres, des personnes âgées, des animaux, des oppressés, des femmes enceintes, des affamés, des cavaliers, des natifs américains,  le patron contre la stérilité. Il est traditionnellement invoqué pour retrouver des objets perdus ou des choses oubliées. Il y a un grand nombre d’Antoine qui sont inscrits au calendrier des saints et bienheureux, comme évêques, martyrs, religieux.




Saint Apollinaire de Ravenne

Saint-Apollinaire : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1856; les registres paroissiaux s'ouvrent le 27 septembre de la même année. L’érection canonique est le 23 novembre 1853 et l’érection civile est le 21 février 1854. La municipalité est nommée en l'honneur d'Apollinaire de Ravenne, évêque martyr du IIe siècle et disciple de saint Pierre.
Saint Apollinaire : Saint Apollinaire de Ravenne fut le premier évêque de la ville de Ravenne au Ier siècle et devint, à la suite de son martyre, son saint patron. Apollinaire, né à Antioche, en province de la Syrie romaine, est le disciple de Pierre envoyé par celui-ci de Rome à Ravenne, où il subit le martyre. Commémoré le 20 juillet et il est saint patron des épileptiques.

Saint-Aubert : Un curé réside dans cette paroisse depuis l'année 1858, date de l'ouverture des registres de la paroisse. Érection canonique: 26 mars 1856. L’érection civile est le 1er mai 1877. Bien que le nom de la municipalité rappelle Saint Aubert, évêque d'Avranches en France et fondateur de la chapelle qui devait devenir l'Abbaye du Mont-Saint-Michel, la paroisse a été mise sous le patronage de saint Aubert en l'honneur de Philippe-Aubert de Gaspé, seigneur de Saint-Jean-Port-Joli. De Gaspé est réputé pour sa grande générosité qui entraînera sa ruine.
Saint Aubert : Saint Aubert, né en 660, mort vers 725, fut un évêque d’Avranches de Manche, qui a fondé le Mont Saint-Michel au VIIIe siècle. Il est fêté le 10 septembre.

Saint-Benjamin : La municipalité de la paroisse de Saint-Benjamin a été érigée le 9 janvier 1897. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Benjamin en l'honneur de M. l'abbé Benjamin Demers, ancien curé de Saint-François-de-Beauce, qui s'intéressa à sa fondation.
Saint Benjamin : Saint Benjamin, diacre, martyr, en Perse et mort en l’an 422. Il est commémoré le 31 mars.


Saint Benoît-Joseph Labre

Saint-Benoît-Labre : Un curé réside depuis 1893. L’érection canonique est le 14 avril 1893 et l’érection civile le 23 août 1893. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Benoît-Labre par Son Éminence le Cardinal Bégin en souvenir de ses fréquentes visites au tombeau de ce grand saint à Rome, pendant ses différents séjours dans la ville éternelle.
Saint Benoît : Saint Benoît-Joseph Labre, décédé le 16 avril 1783 à Rome, est un vagabond français qui pélerina sur les routes d'Europe. Surnommé le « Vagabond de Dieu », il est considéré comme un mystique. Canonisé en 1881, il est liturgiquement commémoré le 16 avril. Saint Benoît-Joseph Labre, est le saint patron de Saint patron des modèles, des célibataires, des mendiants, des pèlerins, des itinérants. Il est fêté le 16 avril. Il y a 24 saints Benoît qui sont papes, évêques, moines.

Saint-Bernard : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1843 et un curé y réside depuis 1844. L’érection canonique est le 10 novembre 1825 et 3 décembre 1849. L’érection civile est le 24 mars 1854. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Bernard en l'honneur de Mgr Bernard-Claude Panet, deuxième évêque de Québec.
Saint Bernard : Saint Bernard, abbé de Clairvaux et docteur de l’Église de 1091 à 1153. Il y a 21 saints Bernard qui sont moines et évêques. Il est fêté le 20 août.

Saint-Camille-de-Lellis : Desservi par voie de mission de 1895 à 1902, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 11 juin 1898 et l’érection civile est le 9 novembre 1903. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Camille en l'honneur de M. l'abbé Camille Brochu, ancien curé de Saint-Magloire, qui s'occupa activement du développement de cette paroisse.
Saint Camille : Saint Camille de Lellis, fondateur des clercs pour le service des malades, de 1550 à 1614. Il est commémoré le 18 juillet.

Saint Charles Borromée

Saint-Charles-de-Bellechasse : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1749, date de l'ouverture des registres paroissiaux. L’érection canonique est le 24 février 1827 et l’érection civile est le 12 février 1835. La municipalité rappelle le nom du propriétaire de la seigneurie de Beaumont, dans laquelle se situait la paroisse, concédée en 1672 à Charles Couillard de Beaumont, par l'intendant Talon. Une augmentation du territoire de la seigneurie était également octroyée à Charles Couillard de Beaumont, fils, en 1713. En effet, le saint évoqué, Charles Borromée, 1538-1584, neveu du pape Pie IV, voit son patronyme orthographié ainsi en français! Nommé cardinal en 1560 et archevêque de Milan en 1564, il fonde, en 1581 la congrégation des Oblats pour l'aider dans l'application des arrêts du concile de Trente.
Saint Charles : Saint Charles Borromée, né à Arona en Italie, le 2 octobre 1538 et décédé à Milan le 3 novembre 1584, était un évêque italien du XVIe siècle, archevêque de Milan et cardinal de l'Église catholique. Grand artisan dans son diocèse de la Réforme catholique voulue par le concile de Trente, il est considéré comme un modèle d'évêque post-tridentin. Canonisé dès 1610 par le pape Paul V il est liturgiquement commémoré le 4 novembre. Il y a un grand nombre de saints Charles au martyr.

Saints Côme et Damien

Saint-Côme–Linière : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1872, date de la nomination du premier curé en titre. L’érection canonique est le 29 décembre 1888 et l’érection civile est le 27 juin 1889. Le nom retenu d'abord pour la paroisse érigée canoniquement en 1868, ait été choisi en raison de la proximité de la paroisse voisine de Saint-Damien. Côme et Damien exerçaient la médecine en Arabie. Ces deux frères d'origine arabe ont subi le martyre simultanément en Syrie sous Dioclétien, vers la fin du IIIe siècle. Ils eurent la tête tranchée et sont devenus les patrons des chirurgiens.
Saint Côme : Saint Côme, ou à l'ancienne Cosme, patron des chirurgiens, né en Arabie, pratiquait la médecine à Aigéai en Cilicie, ainsi que son frère, Damien, saint patron des pharmaciens. Ils souffrirent ensemble le martyre sous Dioclétien, en 303 ou 310. On les appelle anargyres parce qu'ils soignaient « sans accepter d'argent ». On les fête le 26 septembre en Occident.

Saint-Cyprien : Desservi par voie de mission de 1905 à 1916, date de la nomination du premier curé en titre et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le2 juin 1916 et l’érection civile est le 22 février 1887. Quant à la municipalité de Saint-Cyprien, il faut y voir l'un des prénoms de l'abbé Joseph-Eustache-Cyprien Gagné, de 1835 à 1906, curé de Saint-Paul-de-la-Croix et de Sainte-Angèle-de-Rimouski. Il a desservi la mission de Saint-Cyprien en 1877 et 1878 et a eu l'honneur de célébrer la première messe. 
Saint Cyprien : Saint Cyprien, évêque, martyr, mort en l’an 258. Il est honoré le 16 septembre. Il y a8 saints Cyprien qui sont évêques et martyrs.

Saint-Cyrille-de-Lessard : L’érection canonique est le 12 novembre 1844 et l’érection civile est le 24 février 1868 en vertu de l'Acte 3. Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1865, date de l'arrivée du premier curé résidant. En retenant cette appellation, on a voulu rendre hommage à saint Cyrille, évêque de Jérusalem, auteur de Catéchèses baptismales. Il fut un ardent défenseur de la foi contre l'arianisme. Quant au constituant Lessard, il souligne clairement l'appartenance du territoire à la seigneurie concédée, en 1698, par l'intendant Champigny et le gouverneur Frontenac à Pierre Lessard, dont le nom est orthographié Lessart dans certains documents anciens.
Saint Cyrille : Saint Cyrille de Jérusalem, est un évêque de Jérusalem de 350 à 386 et un des Pères de l'Église. Il est révéré comme saint et est fêté le 18 mars. En 1883, il est proclamé Docteur de l’Église par le pape Léon XIII. Il y a saints Cyrille qui sont évêques, patriarches et martyrs.

Saint Damase 1er

Saint-Damase-de-L'Islet : Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1887 et l'érection canonique est le 24 mai 1924. Le nom de saint Damase a été donné pour patron à la paroisse en souvenir de l'un des premiers colons, M. Damase Ouellet, dans la demeure duquel le missionnaire disait la messe en de 1881 à 1885. Le nom de la municipalité rappel également le Pape Damase Ier et du pionnier Damase Ouellet, de 1826 à 1908.
Saint Damasse : Saint Damasse 1er, né vers 305 et mort, presque octogénaire à Rome le 11 décembre 384, est citoyen romain, né de parents espagnols. C'est le 37e évêque de Rome. Il succède à Libère, mort en 366. Pontife, homme de lettres et poète, il est une des grandes figures pontificales des premiers siècles. Il est décédé à Rome le 11 décembre 384, ce saint chrétien est liturgiquement commémoré le 11 décembre.

Saint-Damien-de-Buckland : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1882, date de l'ouverture des registres paroissiaux. L’érection canonique est le 28 septembre 1882 et l’érection civile est le 1er septembre 1890. Elle fut fondée en 1882 par l'abbé J. Onésime Brousseau. Elle est nommée en l'honneur de saints Côme et Damien.
Saint Damien : Saint Damien, patron des chirurgiens, né en Arabie, pratiquait la médecine à Aigéai en Cilicie, ainsi que son frère, Côme, saint patron des pharmaciens. Ils souffrirent ensemble le martyre sous Dioclétien, en 303 ou 310. On les appelle anargyres parce qu'ils soignaient « sans accepter d'argent ». On les fête le 26 septembre en Occident. Il y a 8 saints Damien qui sont évêques, religieux et martyrs.

Saint-Édouard-de-Lotbinière : Le premier curé résidant fut nommé en 1863, date de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 24 septembre 1862 et l’érection civile est le 1er décembre 1862. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Édouard en l'honneur de l'abbé Édouard Faucher, ancien curé de Saint-Louis-de-Lotbinière, qui en fut le premier desservant et du seigneur René-Louis Chartier de Lotbinière.
Saint Édouard : Il y a 7 saints et bienheureux  Édouard, qui sont martyrs, dont saint Édouard le confesseur, roi d’Angleterre, mort vers l’an 1066.

Saint-Elzéar : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1842, date de la nomination d'un premier curé en titre. L’érection canonique est le 26 mai 1835 et l’érection civile est le 4 juillet 1845. Lors de son érection canonique, la paroisse fut mise sous le patronage de saint Elzéar en souvenir de Elzéar Duchesnay, le seigneur de l'époque. Elle est également nommée en l'honneur de Saint Elzéar de Sabran.
Saint Elzéar : Saint Elzéar de Sabran, de 1285 à 1323, est l’époux de la bienheureuse Delphine de Signe. Il fut fiancé à l’âge de 10 ans et tous les deux, s’affilient au tiers-ordre de saint François. Les mariés vont mener une vie de piété, de pénitence, en même temps que de fidélité à leur obligations car Elzéar a d’importants domaines et un rang à tenir. Il est honoré le 27 septembre.

Saint-Éphrem-de-Beauce : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1866. Les registres de la paroisse s'ouvrent au mois d'octobre de la même année. L’érection canonique est le 12 février 1866  et l’érection civile est le 15 septembre 1866. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Ephrem en l'honneur de M. Ephrem Proulx, notaire, qui a donné le terrain où sont construits les édifices religieux et est nommée en l'honneur d'Éphrem le Syrien.
Saint Éphrem : Saint Ephrem le Syrien, de 306 à 373. Le diacre Éphrem était chargé de l'école théologique de Nisibe lorsque surgirent les Perses, et il dut se réfugier avec ses élèves à Édesse, ou il y mourut. Il mena une vie de contemplation, qu'il a entretenu par une austérité extrême. C'est de cette flamme intérieur que jaillit ce lyrisme qui a fait de lui la « harpe du Saint-Esprit ». C'est un saint reconnu par l'Église et il est fêté le 9 juin.

Saint-Évariste-de-Forsyth : Cette paroisse fut desservie par voie de mission de 1855 à 1857, date de la nomination du premier curé résidant. Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1855. L'érection canonique est le 20 mars 1885 et l’érection civile est le 9 septembre 1885. Elle est nommée en l'honneur du pape Évariste et du marchand de bois James Bell Forsyth.
Saint Évariste : Saint Évariste, apparaît comme le 5e évêque de Rome, successeur de Clément Ier. Le Catalogue libérien lui donne comme nom Aristus. Considéré comme Saint, sa fête a été fixée le 27 octobre par l'Église catholique.

Saint-Fabien-de-Panet : L’érection canonique est le 11 mai 1914 et l’érection civile est le 19 juillet 1920. Le nom du titulaire de la paroisse a été donné en souvenir de l'abbé Joseph-Fabien Dumais, l'un des premiers missionnaires de cette paroisse, ancien curé de Saint-Magloire. Le canton de Panet, érigé le 3 octobre 1868, a été ainsi dénommé en l'honneur de Mgr Bernard-Claude Panet, douzième évêque de Québec.
Saint Fabien : Saint Fabien, pape, martyr, mort vers l’an 250. Il est honoré le 20 janvier.

Saint-Flavien : Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1856. L’érection canonique est le 1er décembre 1834 et l’érection civile est le 28 septembre 1843. La municipalité du village de Saint-Flavien a été érigée en 1912. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Flavien en l'honneur de Mgr Flavien Turgeon, 14ème évêque de Québec, de 1787 à 1867.
Saint Flavien : Il y a 8 saints Flavien qui sont évêques, patriarches, anachorètes et martyrs, dont Saint Flavien qui est évêques d’Autun, Ve-Vie siècles.

Saint-Fortunat : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1867. Desservi par voie de mission de 1867 à 1876, date de la nomination du premier curé en titre. L’érection canonique est le 3 décembre 1871 et l’érection civile est le 13 avril 1872. La municipalité est nommée en l'honneur de Fortunat, martyr en l'an 212.
Saint Fortunat : Saint Fortunat de Valence,  fondateur de l'Église de Valence en Gaule, avec Saint Félix et Saint Achillée. Il avait été envoyé par saint Irénée de Lyon et leurs exploits apostoliques entraînèrent leur arrestation, puis leur martyre. Il y a plusieurs saints Fortunat qui sont évêques et martyrs.

Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1727. Desservi par voie de mission de 1729 à 1749, date de la nomination du premier curé en titre. L'érection canonique est le 21 juillet 1842 et l’érection civile est le 28 septembre 1843. Le saint patron de la paroisse rappelle la mémoire de Mgr François de Laval de Montmorency, premier évêque de Québec.
Saint-François : Il y 68 saints et bienheureux François au martyrologe, dont saint François d’Assise, fondateur des ordres franciscains, mort à l’an 1226 et saint François de Borgia, général des jésuites, de 1510 à 1572.

Saint Frédéric d'Utrecht

Saint-Frédéric : La première chapelle fut bénite le 30 décembre 1851. Les registres de la paroisse s'ouvrent à la date du 21 octobre 1853. L'église actuelle a été construite en 1858. L'érection canonique est le 7 juillet 1851 et l'érection civile est le 28 août 1856. Cette dénomination évoque la mémoire de l'abbé Frédéric Caron de 1806 à 1882, curé de Saint-Joseph-de-Beauce et premier curé de Saint-Frédéric de 1851 à 1856. Son saint patron est un prélat néerlandais du IXe siècle, évêque d'Utrecht après 825.
Saint Frédéric : Saint Frédéric, évêque d’Utrecht, martyr et  mort à l’an 838. Il est ensuite canonisé et est fêté le 18 juillet.

Saint-Gédéon-de-Beauce : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1899, date de l'arrivée du premier curé en titre. L’érection canonique est le 30 novembre 1910 et l’érection civile est le 20 février 1911. La paroisse fut mise sous le patronage de saint Gédéon parce que ce nom semblait très populaire parmi les premiers colons. La municipalité est également nommée en l'honneur du juge biblique Gédéon.
Saint Gédéon : Il y a quelques saints Gédéon qui sont inscrits au martyrologe, dont saint Gédéon, martyr en 1818.

Saint-Georges : Desservi par voie de mission de 1840 à 1841, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 16 octobre 1835 et l’érection civile est le 11 décembre 1856. Le nom Saint-Georges a été premièrement donné à la paroisse catholique en 1835 puis à la municipalité de Saint-Georges en 1856 pour honorer le marchand allemand Johann Georg Pfotzer, plus connu sous le nom de George Pozer, qui se porta acquéreur de la seigneurie Aubert-Gallion en 1808. La Rivière Pozer traverse la seigneurie en question.
Saint Georges : Il y a 18 saints et bienheureux Georges qui sont au martyrologe, dont Saint Georges, martyr du Ive siècle.

Saint-Gervais : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1780, date de la nomination du premier curé résidant. L’érection canonique est le 11 mai 1832 et l’érection civile est le 12 février 1835. Elle est nommée en l'honneur de Gervais, martyr avec Protais en l'an 57.
Saint Gervais : Saint Gervais et saint Protais martyrs, étaient jumeaux. Ce sont des saints martyrs chrétiens fêtés localement le 19 juin.

Saint-Gilles : Un curé y réside depuis 1843, date de l'ouverture des registres de la paroisse. L'érection canonique est le 17 février 1828 et l’érection civile est le 11 juillet 1835. L'ouverture du chemin Craig, en 1810, a favorisé la colonisation rapide du territoire. Bientôt voit le jour la paroisse de Saint-Gilles-de-Beaurivage en 1828, qui tire son appellation de la seigneurie Saint-Gilles, concédée en 1738 à Gilles Rageot de Beaurivage, de 1689 à 1754, négociant important de Québec, dont le saint patron est un ermite qui a fondé l'abbaye de Saint-Gilles près de Nîmes, vers le VIIIe siècle.
Saint Gilles: Saint Gilles. Ermite ou abbé, près de Nîmes, Vie siècle ou VIIIe siècle. Il est fêté le 1er septembre.

Saint Henri II

Saint-Henri : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1780. Desservi par voie de mission de 1766 à 1781, date de la nomination du premier curé résidant. L’érection canonique est le 25 mai 1833 et l’érection civile est le 20 décembre 1842. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Henri en l'honneur de Mgr Henri-Marie Pontbriand, sixième évêque de Québec. Également, le village est nommé en l'honneur d'Henri II du Saint-Empire.
Saint Henri : Saint Henri II, en mai 973 et mort en 1024, est le sixième et dernier roi de Germanie ou empereur romain germanique de la dynastie saxonne et ottonienne. Il est fêté le 15 juillet. Il y a 9 saints et bienheureux Henri qui sont inscrits au martyrologe.

Saint Hilaire de Poitiers

Saint-Hilaire-de-Dorset : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1913, date de la nomination du premier curé en titre. L'érection canonique est le 23 février 1914 et l’érection civile est le 12 avril 1916. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Hilaire, évêque de Poitiers, en souvenir du pays d'origine d'un grand nombre de Canadiens Français, dont les ancêtres venaient du Poitou. Saint Hilaire : Saint Hilaire de Poitiers, né vers 315 et mort en 367, est un écrivain latin chrétien. Il a été élevé au rang de docteur de l'Église par le pape Pie IX en 1851. Saint pour les chrétiens, il est fêté le 13 janvier. Il y a 15 saints Hilaire qui sont évêques et martyrs.

Saint Honoré d'Amiens

Saint-Honoré-de-Shenley : Les registres de la paroisse s'ouvrent à la date du 25 août 1873. L’érection canonique est le 29 août 1873 et 17 février 1900. L’érection civile est le 27 avril 1900. Elle est nommée en l'honneur d'Honoré d'Amiens et de l'abbé Honoré Desruisseaux.
Saint Honoré : Saint Honoré d’Amiens, mort vers l’an 600, est le patron des boulangers et il fut évêque d’Amiens. Il est fêté le 16 mai.

Saint Isidore de Séville

Saint-Isidore : Desservi par le curé de Saint-Henri de 1829 à 1834, date de la nomination du premier curé en titre et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 14 août 1829 et l’érection civile est le 5 mai 1837. La municipalité est nommée en l’honneur de saint Isidore de Séville, vers 570 à 636, élevé à l'épiscopat en 600 et nommé primat de l'Espagne en 610.
Saint Isidore : Saint Isidore de Séville, évêque, docteur de l’Église, mort vers l’an 636. Il est le saint patron des Internautes, informaticiens, et des étudiants. Il est fêté le 4 avril. Il y a 13 saints Isidore qui sont canonisées, martyrs, moines et évêques.


Saint-Jacques-de-Leeds : En 1866, le desservant alla résider à Inverness et desservit Leeds jusqu'en 1902, année de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 21 mars 1903. La municipalité est nommée en l'honneur de Jacques le Majeur et de la ville britannique de Leeds.
Saint Jacques : Saint Jacques de Zébédée ou saint Jacques le majeur, est un Juif de Galilée et l'un des douze apôtres de Jésus Christ. Il est nommé « Jacques, fils de Zébédée » dans le Nouveau Testament. Il est le frère de l'apôtre Jean de Zébédée. Il est le saint patron des Vétérinaires, cavaliers, tanneurs, fourreurs, pharmaciens et il est fêté le 25 juillet. l y a 59 saints Jacques qui sont inscrits au  martyrologe.

Saint-Jacques-le-Majeur-de-Wolfestown : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1909; un curé y réside depuis 1912. L’érection canonique est le 29 janvier 1909 et l’érection civile est le 7 mai 1909. La municipalité est nommée en l'honneur de Jacques de Zébédée.
Saint Jacques : Saint Jacques de Zébédée ou saint Jacques le majeur, est un Juif de Galilée et l'un des douze apôtres de Jésus Christ. Il est nommé « Jacques, fils de Zébédée » dans le Nouveau Testament. Il est le frère de l'apôtre Jean de Zébédée. Il est le saint patron des Vétérinaires, cavaliers, tanneurs, fourreurs, pharmaciens et il est fêté le 25 juillet. Il y a 59 saints Jacques qui sont inscrits au  martyrologe.

Saint-Janvier-de-Joly : Les registres s'ouvrent le 10 mai 1918. La mission de Saint-Janvier est située dans la seigneurie de Lotbinière et son desservant est un prêtre du collège de Lévis. La rivière Henri doit son nom à Sir Henry Joly de Lotbinière, ancien seigneur de la seigneurie de ce nom. Le nom du saint patron de la mission a été donné en l'honneur de l'abbé Janvier Lachance, premier desservant qui y a construit l'église.
Saint Janvier : Il y a 14 saints Janvier qui sont martyrs, dont Saint Janvier, évêque de Naples, mort vers l’an 305.

Saint Jean de Brébeuf

Saint-Jean-de-Brébeuf : Le 1er janvier 1946, érection de la municipalité de St-Jean-de-Brébeuf. Son nom rappelle la mémoire de Jean de Brébeuf, né à Condé-sur-Vire en 1593, martyrisé par les Iroquois à Sainte-Marie-au-pays-des-Hurons près de Midland en Ontario, le 16 mars 1649.
Saint Jean : Saint Jean de Brébeuf, né à Condé-sur-Vire en France, le 25 mars 1593 et mort brulé vif, par les Iroquois près de la baie Géorgienne le 16 mars 1649. Il est un prêtre jésuite français, missionnaire en Nouvelle-France. Saint Jean est reconnu comme martyr de la foi chrétienne il a été canonisé en 1930. Liturgiquement il est commémoré le 19 octobre.

Saint-Jean-Port-Joli : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1767. Desservi par le curé de l'Islet de 1767 à 1781, date de la nomination du premier curé en titre. Érection canonique: 20 septembre 1721. La seigneurie de Port-Joly, d'où provient le nom du village, fut établie en 1677. La paroisse de saint-Jean-Port-Joli fut érigée canoniquement en 1721. L'église, construite à partir de 1779, est d'une architecture remarquable et abrite de nombreuses sculptures. La municipalité de Port-Joli fut créée en 1845 et devint partie de la municipalité de comté en 1847. La municipalité de paroisse de Saint-Jean-Port-Joli fut établie en 1855 et fut scindée en 1857 en les municipalités de Saint-Jean-Port-Joli et de Saint-Aubert. Elle devint plus tard la propriété de la famille de Gaspé.
Saint Jean : Il y a 300 saints et bienheureux Jean qui sont inscrits au martyrologe, dont Saint Jean l’apôtre et évangéliste du 1er siècle.

Saint-Joseph-de-Beauce : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1738. Desservi par des missionnaires jusqu'en 1766, date de la nomination du premier curé en titre. L’érection canonique est le 4 septembre 1835 et l’érection civile est le 22 novembre 1842. Le nom paroissial comme celui de la municipalité rappelle que le territoire, à l'origine, faisait partie intégrante de la seigneurie Saint-Joseph-de-[la-Nouvelle]-Beauce, concédée à Pierre de Rigaud de Vaudreuil en 1736, qui l'échangera en 1747 avec celle de Joseph de Fleury de La Gorgendière  de 1676 à 1755, dont le prénom sanctifié a été retenu pour identifier ce territoire. Ce seigneur joue un rôle primordial dans le développement de l'autre rive de la Chaudière en recrutant les premiers colons, en faisant construire un moulin à scie en 1738 et ériger la première chapelle l'année suivante. La mort de ce personnage, en 1755, mettra un frein temporaire à l'établissement de nouveaux pionniers. C'est surtout après la Conquête que se développera l'autre rive, et précisément Saint-Joseph-des-Érables.
Saint Joseph : Il y a 43 saints Joseph qui sont au martyrologe, dont Saint Joseph, époux de la Vierge Marie. Il est commémoré le 19 mars.

Saint-Joseph-de-Coleraine : Les premiers établissements de cette localité se firent en 1915, lors de l'ouverture des mines d'amiante. Un curé y réside depuis 1917, date de l'ouverture des registres de la paroisse. La dénomination Saint-Joseph-de-Coleraine évoque, d'une part, le patron de la Nouvelle-France, l'époux de Marie et père de Jésus, et, d'autre part, le canton de Coleraine. Le nom Coleraine remonterait au gaélique cúil et raithin, coin des fougères, et constituerait un nom transplanté d'une ville et d'un port de l'Irlande du Nord.
Saint Joseph : Il y a 43 saints Joseph qui sont au martyrologe, dont Saint Joseph, époux de la Vierge Marie. Il est commémoré le 19 mars.

Saint-Joseph-des-Érables : La municipalité actuelle de Saint-Joseph-des-Érables a fait l’objet d’une proclamation lors de sa création le 15 novembre 1938. Le 4 février 1946, une demande est faite auprès du lieutenant-gouverneur de changer le nom de la partie sud-ouest de la paroisse de Saint-Joseph-de-Beauce en celui de Saint-Joseph-des-Érables. Cette municipalité de la Beauce forme avec la municipalité de la paroisse et la ville de Saint-Joseph-de-Beauce le bastion joséphien de la MRC de Robert-Cliche dont elles occupent la partie nord. Celle-ci marque l'importance de l'érable à sucre, essence très répandue dans toute la Beauce, tout particulièrement dans les hauts de la présente municipalité.
Saint Joseph : Il y a 43 saints Joseph qui sont au martyrologe, dont Saint Joseph, époux de la Vierge Marie. Il est commémoré le 19 mars.

Saint-Jules : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1918. L’érection canonique est le 22 novembre 1918 et l’érection civile est le 28 mai 1919. Comme on a avancé qu'il y avait quelques protestants parmi les pionniers, le nom du pape Jules Ier, pontife suprême de 337 à 352 aurait été choisi, car celui-ci s'est révélé grand pourfendeur des Ariens, notamment au synode de Rome en 340. Toutefois, il se pourrait que le prénom Jules, assez courant à l'époque, rappelle un premier citoyen ou un curé.
Saint Jules : Saint Jules 1er, né à Rome vers 280, intronisé 35e pape le 6 février 337. Il le reste jusqu'au 12 avril 352. Pape considéré longtemps par l'Église chrétienne apostolique comme bienveillant, il sait faire, également, preuve de fermeté. Il prend la défense de saint Athanase d'Alexandrie contre les Ariens et semi-Ariens et les anti-nicéens. Jules Ier mourut le 12 avril 352 et fut enterré au cimetière de Calepodio sur la via Aurelia où il avait fait construire une église. Il est fêté le 12 avril. Il y a plusieurs saints Jules qui sont martyrs.

Saint-Julien : Desservi par voie de mission de 1867 à 1875, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 22 janvier 1875 et l’érection civile est le 22 octobre 1878. Le nom de ce canton a été donné en l'honneur du général Wolfe, le vainqueur de Montcalm sur les Plaines d'Abraham. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Julien en l'honneur de M. l'abbé Julien Melchior  Bernier, ancien curé de Saint-Ferdinand, qui en fut le premier desservant.
Saint Julien : Il y a 46 saints et bienheureux Julien qui sont religieux et martyrs, dont saint Julien Maunoir, jésuite, missionnaire en Bretagne, mort en l’an 1683.

Saint Just

Saint-Just-de-Bretenières : En 1916, M. l'abbé Eugène Morneau fut nommé curé résidant. Les registres de la paroisse s'ouvrent le 30 novembre 1916. En 1916, la paroisse fut mise sous le patronagee de saint Just, martyrisé au quatrième siècle en Espagne, et dont la fête se célèbre le 7 du mois d'août. Mgr l'Archevêque de Québec ajouta au nom du saint patron de la paroisse celui de Bretenières, en souvenir d'un prêtre français, dont le nom, par une heureuse coïncidence, était Just de Bretenières, martyrisé en Corée, au commencement du siècle dernier.
Saint Just : Saint Just, est le 13e évêque de Lyon. Il succède à Vérissime au milieu du IVe siècle. Il est décédé en l’an 390, en Égypte. Il est fêté le 2 septembre. Il y a 2 saints Just qui sont évêques et 7 Just sont martyrs.

Saint Lambert de Maastricht

Saint-Lambert-de-Lauzon : La municipalité de la paroisse de Saint-Lambert-de-Lauzon a été érigée le 11 mai 1853. L’érection canonique est le 30 mai 1851 et l’érection civile est le 11 mai 1853. Les Lambertins, dont les ancêtres venaient des paroisses voisines, doivent leur gentilé à Pierre Lambert, arpenteur qui dressera, en 1849, les plans de la ville d'Aubigny, plus tard connue sous le nom Lévis. Quant au spécifique Lauzon, il souligne que l'endroit faisait partie de la seigneurie de Lauzon, concédée en 1636 à Simon Le Maître, marchand à Rouen et prête-nom de Jean de Lauson.
Saint Lambert : Saint Lambert de Maastricht, est un saint du Haut Moyen Âge né probablement à Maastricht vers 636 et mort vers 705 à Liège. Il est le symbole majeur de la principauté ecclésiastique de Liège. Saint Lambert  est décédé vers l’an 705 et il est fêté le 17 septembre. Il y a 8 saints et bienheureux Lambert qui sont évêques ou abbés.

Saint Lazare de Béthanie

Saint-Lazare-de-Bellechasse : Desservi par voie de mission de 1847 à 1849, date de la nomination du premier curé en titre et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 14 mai 1832 et l’érection civile est le 11 juillet 1835. La paroisse fut mise sous le patronage de saint Lazare, le disciple, et en l'honneur de M. Lazare Buteau, un de ses bienfaiteurs insignes.
Saint Lazare : Saint Lazare de Béthanie, disciple de Jésus Christ, est essentiellement connu par un récit de l'Évangile selon Jean, chapitre 11, selon lequel Lazare, mort depuis quatre jours et enterré, aurait été ramené à la vie par Jésus. Il est fêté le 17 décembre.

Saint-Léon-de-Standon : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1872. Desservi par voie de mission de 1866 à 1878, date de la nomination du premier curé résidant. L’érection canonique est le 12 septembre 1871 et l’érection civile est le 26 février 1872. Nouveaux décrets canoniques le 4 décembre 1879 et le 12 mars 1885, proclamés le 19 février 1886. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Léon en l'honneur de M. l'abbé Léon Rousseau, ancien curé de Montmagny qui aida à la fondation de la paroisse.
Saint Léon : Saint Léon 1er, ou Le Grand, pape de 440 à 461, et docteur de l'Église. Né en Toscane ou à Rome entre 390 et 400, fils d'un dénommé Quintianus et il est mort le 11 novembre 461 à Rome. Il y a 5 saints Léon qui sont papes, 24 qui sont évêques, religieux, martyrs.

Saint Louis de Gonzague

Saint-Louis-de-Gonzague : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1899. Un curé y réside depuis cette date. L’érection canonique est le 27 mai 1901 et l’érection civile est le 6 mars 1901. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Louis de Gonzague en l'honneur de Son Éminence le Cardinal Bégin, archevêque de Québec, qui est né dans les limites de cette paroisse le 10 janvier 1840.
Saint Louis : Saint Louis de Gonzague, 1568-1591, est un étudiant jésuite mort au service des pestiférés à Rome. Il est fêté le 21 juin. Il y a 36 saints et bienheureux Louis qui sont inscrits au martyrologe.

Saint-Luc-de-Bellechasse : L’érection canonique est le  8 mars 1912 et l’érection civile est le 18 mars 1921. La paroisse avait d'abord été mise sous le patronage de saint Abdon, mais comme ce nom était difficile à prononcer, et plus difficile encore à orthographier, l'abbé Victor Rochette, alors curé, demanda que ce nom fut remplacé par celui de Saint-Luc, en l'honneur de la famille Luc Gilbert, de Saint-Augustin-de-Portneuf, qui venait de donner une somme assez considérable pour la construction du presbytère.
Saint Luc : Plusieurs saints et bienheureux Luc sont au calendrier des saints, dont Saint Luc, l’évangéliste et Saint Luc Belludi, qui était frère et mineur.

Saint-Magloire : L’érection canonique est le 30 avril 1903 et l’érection civile est le 30 septembre 1903. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Magloire en l'honneur de son premier desservant, M. l'abbé Magloire Rioux. Le canton de Roux, érigé le 28 juin 1867, a été dénommé en l'honneur de l'abbé Jean-Auguste Henri Roux, ancien supérieur de Saint-Sulpice, à Montréal.
Saint Magloire : Il y a peu de saint Magloire au calendrier de l’Église. Saint Magloire, moine, évêque, est décédé vers l’an 586.

Saint Malachie d'Armagh

Saint-Malachie : Desservi par voie de mission de 1841 à 1857, date de la nomination du premier curé en titre et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 22 décembre 1873 et l’érection civile est le 1er juin 1874. Le nom de saint Malachie a été donné pour patron à cette paroisse parce que ses premiers habitants venaient d'Armagh, en Irlande, où saint Malachie est en grande vénération.
Saint-Malachie : Saint Malachie d’Armagh, né à Armagh en actuelle Irlande du Nord vers 1094, et mort à l'abbaye de Clairvaux le 2 novembre 1148, est un saint des Églises chrétiennes, célébré le 2 novembre. Malachie est réputé être l'auteur de la Prophétie des papes, manuscrit qui donne par une phrase latine une indication sur chaque pape depuis Célestin II,

Saint-Marcel : Cette paroisse fut desservie comme mission de 1882 à 1894, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. Bien que les raisons exactes de l'appellation de la première mission ne soit pas connu, les sources indiquent qu'il fait selon toute probabilité ultimement référence à saint Marcel Ier, pape de 308 à 309, sous l'empereur romain Maxence. Parce que jadis certains habitants du village avaient pris l'habitude de porter de larges chapeaux tressés avec de la paille, les Marcellois ont reçu le surnom de Chapeaux de Paille.
Saint Marcel : Saint Marcel 1er, natif de Rome, fut le 30e pape de l'Église catholique. Son pontificat ne dura que deux ans, de 308 à 309. Il a été canonisé et est fêté le 16 janvier. Il est le saint patron des grainetiers. Il y a19 saints Marcel qui sont évêques et martyrs.

Saint Martin de Tours

Saint-Martin : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1882, date de la nomination du premier curé en titre. L’érection canonique est le 2 novembre 1910 et l’érection civile est le 20 février 1911. Saint Martin de Tours était le patron de la Beauce, en France. Il convenait de mettre ce grand saint comme patron de l'une des paroisses de la Nouvelle-France, au Canada. Le choix fut fait par Son Éminence le Cardinal Taschereau.
Saint Martin : Saint Martin de tours ou Saint Martin le Miséricordieux est né dans l’actuelle Hongrie, en 316 et est mort à Candes en France le 8 novembre 397. Il est un des principaux saints de la chrétienté. Sa vie nous est essentiellement connue par la Vie de Martin de Sulpice-Sévère de 363 à 429 qui fut un de ses disciples. Il est le saint patron de Maréchaux-ferrants, policiers, commissaires des armées, soldats. Saint Martin est célébré le 11 novembre. Il y a plus de 20 saints et bienheureux Martin qui sont évêques, moines et martyrs.

Saint Michel Archange

Saint-Michel-de-Bellechasse : Desservi par voie de mission dès 1692. Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1693, date de la nomination du premier curé en titre. L’érection canonique est le 30 octobre 1678 par Mgr de Laval. Si le nom évoque l'archange bien connu, le second membre de la dénomination rappelle Olivier Morel de La Durantaye  de 1640 à 1716. Né près de Nantes, il arrive à Québec en 1665 comme capitaine du régiment de Carignan-Salières et se voit concéder en 1672 la seigneurie qui porte son nom. Après avoir demandé à l'évêque qu'une paroisse soit érigée dans sa seigneurie sous le nom Saint-Laurent, on décide de retenir le patronyme de saint Michel, dont la fête coïncide avec l'érection canonique
Saint Michel : Saint Michel Archange, est le saint patron du catholicisme. Dans la culture chrétienne européenne, il est principalement représenté en chevalier ailé qui terrasse le Diable. Il est fêté principalement les et le troisième dimanche de Pâques. Il est considéré comme l'ange gardien de la France. Il y a 24 saints et bienheureux Michel qui sont au martyrologe.

Saint-Narcisse-de-Beaurivage : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1873, date de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 16 mai 1872 et l’érection civile est le 10 octobre 1892. La municipalité est  nommée de l'évêque Narcisse de Jérusalem et du bienfaiteur Narcisse Dionne.
Saint Narcisse : Saint Narcisse de Jérusalem, est un évêque de Jérusalem de la fin du IIe siècle et au début du IIIe siècle. D'origine inconnue, Narcisse a dû succéder à l'évêque Dolichien vers l'an 185. Ce devait être un homme déjà âgé, octogénaire selon la tradition. C'est un saint des Églises chrétiennes, célébré localement le 29 octobre.

Saint-Nazaire-de-Dorchester : La paroisse fut desservie de Saint-Malachie de 1892 à 1902, date de l'ouverture des registres de la paroisse et de la nomination du premier curé en titre. L'érection canonique est le 16 mai 1924 et l’érection civile est le 22 septembre 1924. Elle est nommée en l'honneur de Nazaire de Rome.
Saint Nazaire : Saint Nazaire de Rome ou Saint Nazaire de Milan, est né à Rome dans le premier siècle de l’ère chrétienne. Son père était un haut fonctionnaire de l’administration de l’armée romaine et  sa mère, que l’Église considère comme sainte appelée « sainte Perpétue » ,  était une disciple de saint Pierre. Saint Nazaire est fêté le 12 juin.

Saint-Nérée-de-Bellechasse : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1883; un curé y réside depuis cette dernière année. L’érection canonique est le 19 mars 1886 et l’érection civile est le 29 mars 1887. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Nérée de M. l'abbé Nérée Gingras, ancien curé de Saint-Gervais, qui a fondé la paroisse et en l’honneur des des martyrs Nérée et Achillée.
Saint Nérée : Saint Nérée et Achillée sont deux martyrs chrétiens exilés avec Flavia Domitilla sur l'île de Pontia lors d'une persécution de Domitien en 96 et décapités quelques mois plus tard. Selon la tradition, Achillée et Nérée auraient tous deux été baptisés par l'apôtre Pierre. Saint Nérée est fêté le 12 mai.

Saint Odilon

Saint-Odilon-de-Cranbourne : Desservi par les curés de Frampton de 1856 à 1883, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 15 février 1890 et l’érection civile est le 20 mai 1890. Le saint patron de la paroisse est Odilon de Cluny mais ce nom fut surtout choisi pour rendre hommage à Odilon Paradis, premier prêtre missionnaire dans les cantons de Cranbourne et Frampton, alors peuplé majoritairement par des immigrants irlandais.
Saint Odilon : Saint Odilon de Cluny, vers 962 au château de Mercœur près de Saint-Cirgues dans la Haute-Loire de France et décédé le 31 décembre 1049 au prieuré de Souvigny. Il est fêté le 1er janvier.

Saint Omer

Saint-Omer : La municipalité remonte à 1954 et a reçu son appellation de la paroisse érigée tant canoniquement que civilement en 1939. Elle est Elle est nommée en l'honneur de l'évêque Audomar.
Saint Omer : Saint Omer, Audomar, vécu de 600 à 670 et il l fut nommé évêque de Thérouanne par le roi Dagobert Ier et fonda l’abbaye Saint-Bertin à Saint-Omer. Il est fêté le 9 septembre.

Saint-Pamphile : Un curé y réside depuis le 28 août 1880. C'est aussi en cette dernière année que s'ouvrent les registres de la paroisse. L’érection canonique est le 14 mai 1917 et l’érection civile est le 27 juillet 1917. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Pamphile en l'honneur de M. le notaire Pamphile Verrault, de Saint-Jean-Port-Joli, ancien député et bienfaiteur insigne de la paroisse.
Saint Pamphile : Saint Pamphile de Césarée, né vers 250 à Béryte et il est mort décapité en 309 à Césarée maritime. Père de l’Église, il dirigea l’École théologique de Césarée. Il est honoré le 16 février.

Saint Patrice

Saint-Patrice-de-Beaurivage : Desservi par voie de mission de 1860 à 1871, date de la nomination du premier curé résidant. L'érection canonique est le 2 octobre 1871 et l’érection civile est le 6 juin 1872. Le nom de saint Patrice a été donné comme patron à la paroisse parce que le rang où se trouve située l'église était déjà primitivement occupé par des Irlandais et qu'il portait le nom de Saint-Patrice. Le nom de Beaurivage a été ajouté au nom canonique parce que le territoire de la paroisse comprend une partie de la seigneurie de Saint-Gilles de Beaurivage.
Saint Patrice : Saint Patrice ou Patrick (forme anglophone), il a vécu de 389 à 456. Il fut évêque, apôtre de l’Irlande. Il est commémoré le 17 mars.



Saint Paul de Tarse

Saint-Paul-de-Montminy : Les premiers colons s'y établirent en 1851. Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1868. Desservi par voie de mission de 1857, date de la construction de la première chapelle, jusqu'en 1868, année de la nomination du premier curé résidant. L’érection canonique est le 3 décembre 1892 et l’érection civile est le 15 mars 1893. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Paul, à cause de son voisinage avec la paroisse de Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud. Comme la paroisse est comprise dans le canton de Montminy, on lui a donné le nom de «Saint-Paul-de-Montminy». Le canton de Montminy, érigé le 5 février 1857, a été ainsi dénommé en l'honneur de M. l'abbé Antoine Montminy, ancien curé de Saint-Gervais.
Saint Paul : Saint Paul de Tarse, il vécu de l’an 8 à Tarse jusqu’à l’an 67 à Rome. Selon le livre des Actes des Apôtres et certaines de ses épîtres, Paul revendique la qualité d'« apôtre » de Jésus-Christ qui lui serait apparu quelque temps après sa crucifixion et l'aurait converti. Le mot « apôtre » désigne alors un envoyé de la communauté de Jérusalem, il ne prendra le sens de membre du groupe des douze qu'aux siècles suivants. Saint Paul de Tarse est fêté le 29 juin. Il y a un grand nombre de saints Paul qui sont inscrits au martyrologe.

Saint-Philémon : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1886, date de l'ouverture des registres paroissiaux. L’érection canonique est le 13 avril 1891 et l’érection civile est le 22 septembre 1891 et 4 mai 1892. La paroisse de Saint-Philémon est voisine de cette de Saint-Paul-du-Button. On sait que saint Philémon de Colosse fut le disciple bien-aimé de saint Paul, elle est dont nommé en son honneur.
Saint Philémon : Saint Philémon de Colosse, mort en 70, est un saint de l'Église catholique romaine. Il est fêté le 22 novembre.

Saint Philibert

Saint-Philibert : Un curé y réside depuis 1920. Les registres de la paroisse s'ouvrent à la date du 27 juin 1920. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Philibert de Tournus en l'honneur de M. l'abbé Philibert Lamontagne, curé de Saint-Côme, qui a été le promoteur de la fondation de cette paroisse.
Saint Philibert : Saint Philibert de Tournus, est né en 6617 à Elusa et est décédé en 684 à Noirmoutier. est un moine et un abbé français du VIIe siècle. Il a fondé les monastères de Jumièges et de Noirmoutier. Ses reliques ont été apportées à Tournus où il fut l'objet d'une grande vénération. Sa fête est célébrée le 20 août.

Saint-Pierre-de-Broughton : Desservi par voie de mission de 1877 à 1886, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 2 septembre 1886 et l’érection civile est le 21 avril 1887. La paroisse ayant été ouverte à l'époque de la canonisation des vingt-six martyrs japonais par le Pape Pie IX, elle fut mise sous le patronage de l'un de ces vaillants confesseurs de Jésus-Christ, saint Pierre Baptiste.
Saint Pierre : Saint Pierre Baptiste, apôtre et martyr mort en l’an 64. Saint Pierre est fêté le 29 juin. Il y a plus de 170 saints et bienheureux Pierre qui sont au calendrier de l’Église.

Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1748. Desservi par voie de mission de 1727 à 1750, date de la nomination du premier curé en titre. L’érection canonique, en 1848. C'est en l'honneur de ce M. Blanchet que la paroisse fut mise sous le patronage de saint Pierre.
Saint Pierre : Il y a plus de 170 saints et bienheureux Pierre qui sont au calendrier de l’Église, dont Saint Pierre Baptiste, apôtre et martyr mort en l’an 64. Il est fêté le 29 juin.

Saint-Prosper : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1890, année de la nomination du premier curé en titre. L’érection canonique est le 16 janvier 1901 et l’érection civile est le 10 mars 1902. C'est M. l'abbé Prosper Meunier qui fonda la mission de Saint-Prosper, alors qu'il était curé de Saint-Zacharie-de-Metgermette. C'est en son honneur que la paroisse fut érigée sous le patronage de saint Prosper.
Saint Prosper : Il y a peu de saints Prosper, dont saint Prosper d’Aquitaine, écrivain ecclésiastique qui est mort vers l’an 463.

Saint-Raphaël : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1851, date de la nomination du premier curé en titre. L’érection canonique est le 27 avril 1854 et l’érection civile est le 13 septembre 1855. En mettant la paroisse sous le patronage de Raphaël, on a voulu honorer la mémoire de l’abbé François Raphaël Paquet, ancien curé de Saint-Gervais.
Saint Raphaël : Il y a quelques saints Raphaël, dont saint Raphaël, l’Archange.

Saint-René : La municipalité de paroisse établie en 1944 et reconnue officiellement le 1er janvier 1945, a été érigée canoniquement en 1941 et civilement en 1940, bien qu'ayant été fondée en 1931. Elle est nommée en l'honneur de René Goupil, martyr canadien canonisé en 1930.
Saint René : Saint René de Goupil, est né le 15 mai 1608 à Saint-Martin-du-Bois et il est mort assassiné le 29 septembre 1642 à Auriesville à New York. Saint René était un missionnaire français et le premier martyr nord-américain de l'Église catholique. Il prononça ses vœux religieux comme frère jésuite peu avant sa mort. Il est célébré le 18 octobre. 
   


Saint Roch

Saint-Roch-des-Aulnaies : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1735. Desservi par voie de mission de 1734 à 1777, date de la nomination du premier curé résidant. L’érection canonique est en 1722. L'appellation « Les Aulnets » rappelle l'omniprésence d'aulnes le long de la rivière Ferrée qui traverse la localité. Roch de Montpellier fut confesseur dans le sud de la France et il est devenu le patron des cardeurs, étant honoré le 16 août.
Saint Roch : Saint Roch, est un pèlerin et thaumaturge français, mort en 1327. Il est le patron des pèlerins et de nombreuses confréries ou corporations : chirurgiens, dermatologues, apothicaires, paveurs de rues, fourreurs, pelletiers, fripiers, cardeurs, et aussi le protecteur des animaux. Son culte, s'il est surtout développé en France et en Italie, est devenu très populaire et s'est répandu dans le monde entier. Saint Roch est honoré le 16 août



Saint Séverin de Norique

Saint-Séverin : La paroisse fut desservie de Saint-Sylvestre de 1864 à 1872, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 20 septembre 1872 et l’érection civile est le 22 janvier 1873. La municipalité est nommée en l'honneur de Séverin du Norique et de l'abbé Édouard-Séverin Fafard, fondateur de la paroisse qu'il dessert de 1864 à 1873.
Saint Séverin : Saint Séverin de Norique, apôtre mort en 428, est un saint catholique, qui évangélisa la province romaine de Norique et y fonda plusieurs monastères. Saint Séverin est le saint patron des prisonniers, des vignerons et des tisserands ; il préside à la fécondité des vignes et il est fêté le 8 janvier.




Saint Simon le Zélote

Saint-Simon-les-Mines : Le bureau de poste ouvert en 1881 sous l'appellation de River Gilbert Gold Mines prenait le nom de Saint-Simon-les-Mines, également attribué à la municipalité créée en 1950. Si l'hagionyme évoque l'un des douze apôtres, Simon le Zélote, choisi pour un motif inconnu, l'élément Mines perpétue le souvenir de la fièvre de l'or, car l'endroit a été autrefois un site actif d'exploitation.
Saint Simon : Saint Simon Zélote, est l’un des 12 apôtres de Jésus-Christ, était d’un dévouement total.  Saint Simon est fêté le 28 octobre. Il y a un nombre de Simon qui sont religieux, martyrs et ermites.

Saint-Sylvestre : La paroisse fut desservie par le curé de Saint-Nicolas de 1829 à 1833, année de l'arrivée du premier curé résidant. Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1829. L’érection canonique est le 26 novembre 1828 et l’érection civile est le 11 juillet 1835. L'archevêque de Québec, monseigneur Plessis, dans une lettre qui remonte à 1823, propose alors de lui donner le nom du dernier saint du calendrier, saint Sylvestre Ier, pape de 314 à 335, fêté le 31 décembre, dernier jour du mois et de l'année, elle doit peut-être son nom au fait qu'elle constituait une mission éloignée dans les montagnes.
Saint Sylvestre : Saint Sylvestre, fut le 33e pape, de l’an 314 jusqu’à l’an 335. Sylvestre est l'un des premiers saints canonisés sans avoir subi le martyre. Il est fêté le 31 décembre.

Saint-Théophile : Les registres de cette paroisse s'ouvrent le 18 janvier 1892. Desservi de Saint-Côme de 1886 à 1895, date de la nomination du premier curé en titre. L’érection canonique est le 2 janvier 1893 et l’érection civile est le 22 mars 1893. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Théophile en l'honneur de M. Théophile Montminy, qui avait été délégué par Mgr l'Archevêque de Québec pour fixer le site de l'église.
Saint Théophile : Il y a quelques saints Théophile, dont saint Théophile, évêque de Nicomédie et saint Théophile de Corte, franciscain.

Saint-Vallier : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1713. Desservi par voie de mission de 1713 à 1722, date de la nomination du premier curé résidant. L’érection canonique est le 29 octobre 1714. Puisqu'il avait servi d'intermédiaire lors de cette transaction, monseigneur Jean-Baptiste de La Croix de Chevrières de Saint-Vallier, de 1653 à 1727, deuxième évêque de Québec en 1688 jusqu’à 1727, inspirera la désignation des lieux, Saint-Vallier.
Saint Vallier : Il y a un Saint Valier au calendrier de l’Église; Saint Valier fut le premier évêque du Couserans. Il a vécu vers la fin du IVe siècle.

Saint Victor 1er

Saint-Victor : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1848, date de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 24 février 1852. Le nom choisi rappelle que la construction de la chapelle a commencé un 28 juillet, fête de saint Victor, qui est pape et sa devise est « s’unir pour bâtir ».
Saint Victor : Saint Victor 1er, mort vers l’an 200 et martyrisé sous Septième-Sévère, fut selon la tradition catholique, le 14e évêque de Rome, c'est-à-dire le 13e successeur de saint Pierre au souverain pontificat. Saint Victor est fêté le 28 juillet. Il y a un grand nombre de saints Victor, presque tous martyrs qui sont inscrits au calendrier.


Saint-Zacharie : Un curé y réside depuis 1881, date de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 2 avril 1888 et l’érection civile est le 30 juin 1888. La paroisse a été mise sous le patronage de saint Zacharie, pape, en l'honneur du Père Zacharie Lacasse, ancien missionnaire-colonisateur.
Saint Zacharie : Saint Zachari, le pape, est né en 679 en Calabre et est mort en l’an 751 à Rome. Il succède Grégoire III et fut sacré le 10 décembre 741. Saint Zacharie est fêté le 22 mars. Il y a plusieurs saints Zacharie qui furent évêques, martyrs et moine.


Sainte Agathe de Catane

Sainte-Agathe-de-Lotbinière : Desservi par voie de mission de 1853 à 1857, par le curé de Saint-Gilles. Curé résidant depuis 1857, date de l'ouverture des registres de la paroisse. Érection canonique: 17 mars 1853. L’érection civile est le 15 janvier 1857. Comme les premiers colons établis dans cette paroisse étaient des Irlandais, celle-ci fut mise sous le patronage de sainte Agathe de Catane, qui est la patronne de l'église des Irlandais.
Sainte Agathe : Sainte Agathe de Catane, née en 231 en Sicile, est une sainte chrétienne, vierge et martyre, morte en 251 à l’âge de 20 ans. Elle est la sainte patronne des fondeurs de cloche, des nourrices, des bijoutiers, des martyrs, des victimes de viol et de torture et est Invoquée contre les incendies, les tremblements de terre, les éruptions de l'Etna, les catastrophes naturelles et la stérilité. Elle est célébrée le 5 février.
 

Sainte Apolline d'Alexandrie

Sainte-Apolline-de-Patton : Desservi par voie de mission jusqu'au 19 août 1902, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 11 août 1924. Le canton de Patton, érigé le 26 juillet 1871, a été ainsi dénommé en l'honneur de William Patton, marchand de bois. Son Éminence le Cardinal Bégin plaça la paroisse sous le patronage de sainte Apolline d’Alexandrie, comme gage de confiance et de foi en cette jolie localité.
Sainte Apolline : Sainte Apolline d’Alexandrie, vierge et martyre, est décédée en Alexandrie en Égypte, en l’an 249. Sainte Apolline est célébrée le 9 février.

Sainte-Aurélie : Cette desserte a été érigée en 1906 avec curé résidant. C'est aussi en cette même année que se fait l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 22 novembre 1923 et l’érection civile est le 11 juin 1924. La paroisse a été mise sous le patronage de sainte Aurélie en l'honneur de la Révérende Soeur Sainte Aurélie, supérieure des Dames Ursulines pendant une quinzaine d'années. C'est pour témoigner son estime à cette admirable communauté que l'Archevêque de Québec a fait cet heureux choix.
Sainte Aurélie : Il n’y a que peu de sainte Aurélie, dont sainte Aurélie, inconnue à laquelle une église est dédiée près de Strasbourg.

Sainte-Claire : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1824, année de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 14 avril 1824 et l’érection civile est le 13 août 1824. C'est en l'honneur de Claire-Françoise Bissot, épouse de Louis Jolliet, que la paroisse fut mise sous le patronage de sainte Claire.
Sainte Claire : Il y a quelques saintes Claire, dont sainte Claire d’Assise, fondatrice des pauvres clarisses, mort en l’an 1253.

Sainte-Clotilde-de-Beauce : Cette desserte a été fondée le 28 août 1922, année de la nomination du premier curé desservant et de l'ouverture des registres. Cette desserte a été mise sous le patronage de sainte Clotilde, épouse de Clovis I, premier roi chrétien et fondateur de la monarchie française, en souvenir du voyage que Son Éminence le Cardinal Bégin fit à Reims, lors des fêtes du 15ème centenaire du baptême de Clovis.
Sainte Clothilde : Sainte Clothilde, née vers 474 et décédée à Tours en l’an 545, est une princesse burgonde, devenue reine de France en épousant Clovis, qu'elle contribue à convertir au christianisme. Sainte Clothilde, a été canonisée vers l'an 550 et elle est fêtée le 3 juin.

Sainte-Croix : La première concession de terrain date de 1680 et la seconde de 1684. La paroisse fut desservie par des missionnaires de 1713 à 1791, date de la nomination du premier curé en titre. Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1729. Elle est nommée en l'honneur de la Vraie Croix.
La Sainte-Croix : La Vraie Croix, dite également Sainte Croix, serait la croix sur laquelle Jésus-Christ a été crucifié. Selon la tradition chrétienne, c'est sainte Hélène, la mère de l'empereur Constantin Ier, qui aurait découvert la Croix de Jésus ainsi que celles des deux larrons, lors d’un pèlerinage en Palestine entrepris en 326.

Sainte-Euphémie-sur-Rivière-du-Sud : Desservi par voie de mission jusqu'en 1907, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. Érection canonique: 25 octobre 1917. L’érection civile est le 21 février 1918. L'hagionyme Sainte-Euphémie commémore, d'une part, la vierge martyre originaire de Chalcédoine, suppliciée à la même époque que sainte Eulalie et sainte Agnès. D’une autre part, Euphémie Bernier, mère de l'abbé Joseph-Walstan Proulx, né en 1873.
Sainte Euphémie : Sainte Euphémie  est née à Chalcédoine en vers l’an 284. Elle est morte en martyre en l’an 303. On commémore le 11 juillet un miracle qui fut accompli sur son tombeau durant le concile œcuménique de Chalcédoine en 451 et elle est fêtée le 16 septembre.

Sainte-Félicité : Sainte-Félicité a été érigée en 1950, reprenant la dénomination de la paroisse canoniquement établie en 1945. Elle doit son nom, comme ses citoyens les Félicitois, à une esclave chrétienne, martyrisée à Carthage en 203, sous l'empereur Septime Sévère, de 146 à 211, en compagnie de Perpétue, une noble dame, et de plusieurs compagnons.
Sainte Félicité : Sainte Félicité, martyre à Carthage en l’an 203. Elle est fêtée le7 mars.

Sainte-Hénédine : es registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1852, date de la nomination du premier curé résidant. L'église actuelle a été construite en 1910. L’érection canonique est le 20 mars 1852 et l’érection civile est le 10 août 1852. L'appellation retenue et étendue à la dénomination collective Hénédinois, Hénédinoise adoptée en 1993 rend hommage à Catherine-Hénédine Dionne, qu'elle avait épousé en 1834. Cette pieuse dame a généreusement contribué à la construction de l'église paroissiale. Mère de plusieurs enfants, l'une de ses filles, née en 1842 et décédée sans postérité en 1890, avait pour prénom Hénédine-Amélie. La sainte patronne de la seigneuresse Dionne est une vierge martyrisée en Sardaigne vers l'an 125. Cependant, la dénomination courante de l'endroit demeure Sainte-Hénédine-de-Dorchester.
Sainte Hénédine : Sainte Hénédine de Clagliari, martyre du IIe siècle en Sardaigne.

Sainte Justine de Padoue

Sainte-Justine : Premiers établissements de cette paroisse remontent à 1860. Les registres s'ouvrent en l'année 1865. La paroisse fut desservie par les Pères Trappistes de 1862 à 1872. Le nom de Sainte-Justine évoque Marie-Justine Têtu, qui a vécu de 1833 à 1882, fille du lieutenant-colonel de la milice et marchand de Québec, Charles-Hilaire Têtu. Il fait aussi référence à Justine de Padoue, martyre du Ier siècle.
Sainte Justine : Sainte Justine de Padoue, née au IIIe siècle et décédée le 7 octobre 304, est une martyre, considérée comme sainte par l’Église catholique romaine. Elle aurait été baptisée à Padoue par un disciple de saint Pierre. Si vive était sa foi qu’elle demeura attachée à Jésus-Christ et pour cela fut percée d’un coup d’épée. Sainte Justine est fêtée le 7 octobre, jour anniversaire de sa mort. Il y a 7 saintes Justine qui sont martyres.

Sainte-Louise : L’érection canonique est le21 décembre 1856 et l’érection civile est le 11 décembre 1860. La paroisse a d'abord été mise sous le patronage de saint Louis, mais les paroissiens demandèrent pour patronne sainte Louise, en l'honneur de Madame Louise Boisseau, épouse d'Amable Dionne, seigneur de Saint-Roch-des-Aulnaies.
Sainte Louise : Sainte Louise, Whilelmine Boisseau née Dionne, qui fut la seigneuresse des Aulnaies, au XIXe siècle. Celle-ci est fêtée le 31 janvier.

Sainte-Lucie-de-Beauregard : Cette mission, fondée le 21 mars 1911, fut desservie par le curé de Saint-Fabien-de-Panet jusqu'en 1916, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le 9 juin 1924 et l’érection civile est le 18 novembre 1924. La paroisse a été mise sous le patronage de sainte Lucie en l'honneur de la mère de Son Éminence le Cardinal Bégin, née Lucie Paradis. Le nom de Beauregard a été ajouté au nom de la municipalité en souvenir du Marquis Costa de Beauregard, un ami de l'abbé Louis-Nazaire Bégin, aujourd'hui Archevêque de Québec, et des abbés Benjamin et Louis-Honoré Paquet, quand tous les trois suivaient les cours de la Propagande à Rome.
Saint Lucie : Il y a 19 saintes et bienheureuses Lucie, la plupart martyres, dont Sainte Lucie, martyre à Syracuse, Ive siècle.

Sainte-Marguerite : Les registres de cette paroisse s'ouvrent en l'année 1840, date de la nomination du premier curé résidant. L’érection canonique est le 8 novembre 1831 et l’érection civile est le 5 mai 1837. C'est en l'honneur de Dame Marguerite Marcoux, veuve de feu Lazare Buteau, écuyer, en son vivant major de milice pour la paroisse de Saint-Gervais, que la paroisse fut mise sous le patronage de sainte Marguerite.
Sainte Marguerite : Il y a 21 saintes et bienheureuses Marguerite, dont Sainte Marguerite, martyre à Antioche, IIe siècle.

Sainte-Marie : Desservi par voie de mission de 1737 à 1766, date de la nomination du premier curé en titre. Les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1745. D'après les archives de la paroisse, une première érection canonique eut lieu en 1770. L’érection canonique est le 22 mai 1835 et 10 août 1842. L’érection civile est le 10 octobre 1846. paroisse a été mise sous le patronage de sainte Marie pour rappeler la mémoire de la femme du seigneur de l'endroit, Thomas-Jacques Taschereau, marié à Marie-Claire Fleury de la Gorgendière.
Sainte Marie : La Sainte Vierge Marie, Mère de Jésus Christ. Fête de l’Assomption, le 15 août et Fête de la Nativité, le 8 septembre.

Sainte-Perpétue : Desservi par le curé de Sainte-Louise de 1868 à 1869, date de l'ouverture des registres de la paroisse. Un curé y réside depuis 1869. L’érection canonique est le 18 mai 1918 et l’érection civile est le 10 janvier 1919. Étant donné que Sainte-Perpétue est voisine, dans sa partie sud, de Sainte-Félicité, le nom de cette sainte a été retenu puisqu'elle avait subi le martyre en compagnie de sainte Félicité en 203 de notre ère.
Sainte Perpétue : Sainte Perpétue est parmi la première martyre africaine chrétienne, avec Sainte Félicité, dont la mort soit documentée. Elles sont mortes à Carthage en 203. Sainte Perpétue est commémorée le 6 mars.

Sainte-Praxède : Avec l'établissement d'une mission en 1908, laquelle accédera au statut de paroisse en 1944,  Elle est nommée en l'honneur de Praxède de Rome, sœur de sainte Pudentienne.
Sainte Praxède : Sainte Praxède de Rome, sœur de pudentienne et martyre dui IIe siècle. Elle est honorée localement le 21 juillet.

Sainte Rose de Lima

Sainte-Rose-de-Watford : Les registres de cette paroisse s'ouvrent à la date du 6 janvier 1894. Une chapelle y fut érigée en 1883 puis desservie jusqu'en 1894, date de la nomination du premier curé résidant. L'église actuelle a été construite en l'année 1898. L’érection canonique est le 16 novembre 1913 et l’érection civile est le 9 février 1914. La paroisse a été mise sous le patronage de sainte Rose de Lima en l'honneur d'une bienfaitrice de la paroisse qui portait ce nom. Celle-ci était parente de Son Éminence le Cardinal Bégin.
Sainte Rose : Sainte Rose de Lima, a vécu de 1586 à 1617 au Pérou,  et a canonisée en 1671. Elle est la première sainte du Nouveau Monde. Sainte Rose est fêtée le 23 août. Elle est la Sainte patronne des couturières,  des jardiniers, des fleuristes et elle est fêtée le 23 août.

Sainte-Sabine : Desservi par voie de mission de 1904 à 1906, date de la nomination du premier curé résidant et de l'ouverture des registres de la paroisse. L’érection canonique est le2 février 1906 et l’érection civile est le 7 mars 1907. Le village a été nommé en l'honneur de l'église Sainte-Sabine de Rome, église romaine souvent visitée par le cardinal Louis-Nazaire Bégin, consacrée à la martyre Sabine de Rome.
Sainte Sabine : Sainte Sabine de Rome, du IIe siècle, martyrisée le 29 août 126, à Vindena en Ombrie, sous le règne d'Hadrien. Sainte Sabine est fêtée le 29 août.

Saints-Anges : Un curé réside dans cette paroisse depuis 1875. Les registres de la paroisse s'ouvrent le 1er novembre de la même année. L’érection canonique est le 30 septembre 1880 l’érection civile est le 29 décembre 1890. Le village est nommé en l'honneur des trois archanges : saint Gabriel, saint Raphaël et saint Michel. Saints-Anges surplombe géographiquement la paroisse de l'Enfant-Jésus, nommée Vallée-Jonction. La disposition géographique de ces quatre toponymes réfère à la nativité du Christ. Saints-Anges c'est aussi une terre que l'on appelle la terre de rêves parce que c'est un endroit qui tranquille avec de beau super paysage parce que Saints-Anges c'est en hauteur.
Saints Anges : Il y a 12 saints ou bienheureux Anges qui sont religieux, ermites ou martyrs.


Sources :
Dictionnaire des Saints, L De Cary, Librairie générale française, 1963
Originis : www.originis.ca
Wikipedia : www.wikipedia.org
Gouvernement du Québec : www.toponymie.gouv.qc.ca
Nominis : http://nominis.cef.fr