«La fournée.» « Quand le four était suffisamment réchauffé,
écrit Marius Barbeau, on en raclait la cendre et les tisons vifs. La
pâte gonflée presque au point de déborder des casseroles y faisait
alors son entrée, à l’aide d’une palette de bois surmontant un long manche.
Puis on refermait les petites portes à deux battants, qui servaient à
emprisonner la chaleur dans les parois de pierre ou de terre cuite jusqu’à ce
que le pain en émergeât jaunissant tout autour et doré sur le faîte.»
Nos racines, numéro 107, page 2135, les éditions T.L.M. 1981