Au début du XVIIIe siècle, le navire de guerre sur lequel se
trouve monsieur Gabriel Roger échappe miraculeusement aux glaces. Pour
remercier sainte Anne, qu’il croit être responsable de son salut, le marchand
commande une toile qu’il donne en 1717 à l’église de Saint-Anne-de-Beaupré, et
fait chanter une messe d’action de grâces.
Nos racines, numéro 2, p.34 et 35, les éditions T.L.M. 1979