Les
croix de chemin sont très nombreuses au cours de la première moitié du XIXe
siècle. Celle-ci s'élève sur le chemin de la Pointe-Lévis. Plessis, en 1818,
consent à ce que l'on construise des calvaires «pourvu que le crucifix soit
bien fait et non avec une figure ridicule comme il en sort quelques fois des
adeptes de l'école de Saint-Vincent» Il ajoute qu'il «faudra exclure tous ces
attributs dont on charge quelquefois la croix des grands chemins en campagne;
tels que la lune, le soleil, la main, l'éponge, le roseau, etc.»
Nos racines, numéro 78, p.1555, les éditions T.L.M. 1979