Le colon ne peut souvent pas tirer assez de revenus de sa terre pour vivre décemment. Il devient donc bûcheron, joignant alors les rangs de ceux qui le sont de métier. On entend chanter un peu partout :
« Voici l’hiver arrivé
Les rivières sont gelées
C’est le temps d’aller dans les bois
Manger du lard et des pois. »
Nos Racines, numéro 110, page 2186, les éditions T.L.M. 1981